Salon littéraire
« Alors qu’il est un peu ardu, difficile, plein d’aspérités, on a du mal à ne pas dévorer ce livre. Par curiosité, d’abord : l’auteure parle de sa pratique de “psy”, en institution, dans des ateliers théâtre, dans des entretiens avec les “patients”, dans des rencontres, et bien sûr quelques anecdotes, à elles seules, justifieraient que l’on acquière ce livre.
Mais au moment où l’on craint de tomber dans une antipsychiatrie bien-pensante, on est surpris : cette psychologue – cette femme – avoue tout : elle vit pour ce travail, et par ce travail. Elle a besoin des fous. Elle les aime. Elle vit avec eux, réfléchit avec eux et, même si parfois elle est cruellement déçue de les voir retomber dans leurs manies, leurs éternelles tentatives de suicide et leurs fatigants délires, elle s’aperçoit qu’ils lui apportent quelque chose, peut-être aussi un cheminement, avec ses exigences et ses chutes. Le propos n’est pas nouveau, mais il est ici d’une sincérité absolue. »
Bertrand du Chambon, Salon littéraire, 1er juillet 2014
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Psychologies magazine
« Par petites touches raisonnées et sensibles, Sandrine Willems nous interpelle dans ce journal très personnel. De ses besoins de nourritures (spirituelles, terrestres, physiques, métaphysiques), notés au fil des ans, cette réalisatrice et psychologue spécialisée dans les dépendances lourdes a extrait de quoi alimenter un livre poétique. Une réflexion sur la foi, le sens de la vie qui fera écho en vous. »
Christine Sallès, Psychologies Magazine, juillet-août 2014
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Magazine Fou de food
« Sandrine Willems fait de l’amour une mosaïque, pour soi, pour d’autres corps, pour d’autres objets, pour ce que nous ne pouvons ressentir, mais qui tient de l’instinct. […] Si elle se livre beaucoup, mais avec retenue, dans ces Carnets, c’est pour laisser entendre la voix de tous ces autres, “perdants magnifiques” qui oscillent entre misères et illuminations. Un pont entre Ovide, Rilke et Barthes, qui s’achève par ce poème d’un incendie à partir duquel l’auteur nous invite à (re)prendre naissance. »
Cathia Engelbach, Magazine Fou de food, juillet-août 2014
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Salon littéraire
Bertrand du Chambon a rencontré Sandrine Willems afin d’en savoir plus sur les raisons qui ont poussé l’auteure à écrire Carnets de l’autre amour, « un texte qui navigue aux confins de la philosophie, de la psychanalyse et d’une certaine recherche mystique », le 25 août 2014.
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Le Carnet et les Instants
« Ni psychologue ni psychanalyste, mais simplement psy, elle s’est engagée de manière si radicale auprès des gens, qu’elle n’hésite pas à parler d’amour : amour de l’autre, amour autre. Lequel est à peine distinct de l’amour qu’elle porte ou a porté à un amant, de l’amour dont elle a intensément besoin. “Comme d’autres ont le vin triste, j’ai l’amour fou”, dit-elle. »
Jeannine Paque, Le Carnet et les Instants n° 183, octobre-novembre 2014
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